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Former ou Déformer ?

Un acteur au cœur de la digitalisation de la formation et des nouvelles compétences

Un acteur au cœur de la digitalisation de la formation et des nouvelles compétences

En bouleversant l’économie, la transformation numé-rique exige de fortes capacités d’adaptation et d’agilité, de la part des entreprises, et même des organismes de formation. Face à ces changements, la formation fournit une partie de la réponse en favorisant l’évolu-tion des compétences et des pratiques. Olivier Gauvin, Directeur Pôle Innovation Sourcing-Emploi-Formation chez Opcalia nous éclaire sur le rôle d’Opcalia dans l’accompagnement de la digitalisation.

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L'IA au service de l'éducation ...

L'IA au service de l'éducation ...

L’émergence de l’Intelligence Artificielle modifie profondément les compétences exigées par les entreprises. Les business school doivent adapter le contenu des enseignements et la manière même d’enseigner. Eclairage avec Renaud Champion, Directeur des Nouvelles Intelligences et de l’Institut AIM (Artificial Intelligence in Management) emlyon business school.

L’IA au service des nouveaux besoins des individus
et des entreprises


Réinventer l’éducation par l’Intelligence Artificielle (IA) n’est pas une idée neuve : sans remonter très loin, un blog américain spécialisé sur l’enseignement supérieur listait déjà en 2012 les 10 révolutions éducatives induites par l’IA. Sauf que la personnalisation de l’enseignement et l’automatisation de la notation étaient encore de l’ordre de la prospective.

Il est temps de penser au présent, alors que le machine learning, l’analyse de données ou les assistants virtuels font leur apparition concrète dans les processus pédagogiques. Aux Etats-Unis, le professeur Ashok Goel a développé un assistant virtuel capable de répondre aux questions des étudiants. Son nom : Jill Watson (élémentaire, ou presque !). emlyon business school développe de son côté, dans le cadre d’un partenariat mondial signé avec IBM en janvier 2018, un assistant d’employabilité, fondé sur le Big Data : un futur « GPS des compétences », une plateforme pour anticiper les tendances en matière d’emplois et proposer de nouveaux modèles de formations et d’accompagnements.

On pourrait multiplier les exemples. Ce qui est sûr, c’est que l’IA a déjà trois conséquences : elle modifie à moyen terme les compétences exigées par les entreprises. Elle modifie le contenu des enseignements. Elle bouleverse de plus en plus la manière même d’enseigner. 

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Le co-apprentissage n’a pas encore vraiment profité de la transformation digitale

Le co-apprentissage n’a pas encore vraiment profité de la transformation digitale

L’apprentissage entre pairs (peer-to-peer learning, social learning) est une pédagogie beaucoup plus efficace que la formation traditionnelle pour deux raisons principales : 

  1. La formation est souvent vécue comme un processus vertical, avec un professionnel extérieur détenteur d’un savoir. Les adultes plus que les jeunes vivent mal cette position d’apprenant en face d’un sachant.
  2. Nous savons que dans un environnement VUCA, les solutions aux défis que doivent relever les entreprises viennent plus de la créativité et de l’intelligence collective que des procédures ou des règles bien apprises.

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La loi avenir professionnel ...

La loi avenir professionnel ...

Sophie PELICIER-LOEVENBRUCK, avocat associé, cabinet FROMONT BRIENS

La réforme de la formation professionnelle issue de la loi du 5 septembre 2018 « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » met en exergue qu’en réalité l’obligation de formation qui incombe à toute entreprise employant des salariés sur le territoire français a un double objet. 

L’obligation de tout employeur de contribuer au financement de la formation professionnelle de tous les actifs au travers de la nouvelle contribution au financement de la formation professionnelle et de l’apprentissage (CUFPA)

1er objet : il s’agit d’une obligation financière qui se traduit par le versement en pratique de deux contributions respectivement dédiées à la formation dite continue d’une part et à l’apprentissage d’autre part (à raison de : 0,55 % et 1% de la masse salariale brute pour les entreprises de moins et de 11 salariés et plus pour la première et de 0,68% de la MSB pour la seconde). 

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